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Tu t'en vas quand nos corps s'entrelacent
De nos bras qui s'enroulent,et tu dis vague comme une Eau qui se brouille.
De ces deux mains qui s'offrent un sillon vers un dessein jeté, Ô Souffle Eolien violent,je plonge
Sur la courbe de tes reins,laisse moi juste T'apprivoiser,avais-je oublié qu'aimer était survivance, En faim se rebellent tes sens,beau et mien ce soir tu M'étreins,atténues toutes ces retenues,ne te méprends Bon Sang tu m'es chair le sens tu enfin!Tu m'effares je Marine! O Git temps de Léna Morada tu naîs tango je T'enlace,sur les touches du piano est ce l'accord Majeur!Tu mets gare,quand ton regard fait naître en moi mille Etincelles,à tension, tu m'éveilles quand on se noie Ensemble dans l'océan des soupirs,tu M'éclaires.Tu souris quand ton orgueil remplace les Gestes qui l'accomplissent.
Dès que tu te fais mâle,au sein de ta malice,female Complice et revival,je te suis,mais des monts Verts,résonne le timbre du supplice.
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