L’homme a besoin de travailler.
Tu ne dois pas toi l’exploiter.
Il besogne, éponge toutes ses dettes.
Le soir il voit ces vedettes.
L’aube, il s’affère avec ses rêves.
Il ne fait pas souvent la fête.
C’est l’exécutant de ces têtes.
Il bosse, illusions, une quête.
Pour s’épanouir faut réfléchir.
Labeur qui découvre l’ennui.
Le travail, la chaine tu détruis.
Boulot constructif à autrui.
Son cœur dégouline, canif.
C’est les Salauds, les gros califes.
L’homme subit cette décadence.
Quel gaspillage d’intelligence.