Poème retour a la lumière

retour a la lumière

je me suis réveillé un beau matin
d'un long sommeil que je croyait sans fin
tous en douceur la lumière m'éblouie
et j'ouvre enfin les yeux et je revis
...j'entend un bruit qui m'émerveille , un oiseau chante non loin de la

de la fenêtre entrouverte une fine brise émoustilles mon visage
elle est fraîche et revigorante sur ma peau
qui semblait endormie depuis des jours, des mois ,des années
mais qu’importe je me sent tellement bien
je me redresse doucement , car mon corps est encore un peu endormit
mes pieds frôles le sol car il est froid
ils en avait perdues l'habitude
mais quelle sublime aventure désormais ils pourront vivre

je me redresse et marche pas a pas
comme un enfants qui vient tous juste d'apprendre a marcher
vers la fenêtre je m'avance
elle me parait si loin a ce moment
mon corps tous entier s'anime et reprend vie
quelle sensation unique , quelle sensation magnifique

de mes yeux des larmes se mirent t'a couler
mais ce ne sont pas des larmes de peine
mais de bonheur retrouver
j'atteint enfin la fenêtre lentement
je mis adossent et je contemplé éblouie par ce que je découvre
dehors l'aurore est la
a croire quelle n'attendait que moi
pour ce lever et s'évader

et soudain s'ouvre a mes yeux un monde de toutes couleurs
tant d'année ont passée
et tant de chose ont du changer
soudain me vient une pensées
mon coeur se serre et mes mains se mette a trembler
depuis combien d'année ai-je somnoler
a divagué dans mes pensées

près de la porte un miroir , si j'osait
mais cette peur qui ne me quitte pas
que suis je devenue maintenant , et depuis combien de temps
car dans mes rêves je n'avait que quinze ans
je décide d'approcher , après tous a quoi bon reculer
dans le miroir mon reflet
il était presque comme dans mes souvenirs

plutôt gracieux malgré son age
la jeune fille de quinze ans avait disparue
avec le poids des années , avec le poids du passé
cette femme la avait trente ans
mon dieu quelle perte de temps
tant de chose inachevé , tant de bonheur a rattraper

je verse une ultime larmes de peine
la mélancolie na plus sa place , je la chasse
en se beau matin aux milles prouesse
puisque le ciel la voulue ainsi
ma vie recommencera donc ici
je la vivrait intensément comme si c'était mon tous dernière instant

puit la porte s'ouvrit
et soudain retentie un crie
c'est une infirmière qui entrai
elle criait au miracle car c'est celui que je fit
en me réveillant d'un long sommeil qui dura quinze ans de ma vie