J’ai de multitude espoir dans ma tête.
Quand je regarde, lis ou même vois ceux qu'ils font pour elle.
Je suis jalouse de ne pas être à la même marche d'escalier.
J'ai mal quelque part, de voir que mon esprit ou mon âme
Passe inaperçu autant à leur yeux, comme si je les avais usé
Par toute ses années
Où je passais mon temps à déprimer à vouloir mourir et en finir de mon corps.
J'aime tellement être au premier rang. Être vue, être mise comme un diamant.
Quand je vois cette attention aussi flagrante qu'ils lui portent.
Je me sens abandonné, dans cet univers familial restreint à leur cocoon.
Je me dis faut-il mourir, se supprimer pour se faire plus aimer.
"Comme toi tu l'as fait mon cousin qui nous à quitté..."
Et dans tout ce que je dis, je suis triste de penser à cette jalousie
Ce manque que j'aimerai combler.
Je suis toujours en poursuite d'amour familiale éteint.
Je suis la sœur, et je compte encore moins que la copine venu de je ne sais où ?
J’ai l'impression que malgré les années, les difficultés, l'accepter de mon corps,
Il y a toujours se vouloir à être mise au dessue.
Je ne suis doué en rien.
Je m'exerce à être un être compréhensif aux situations qui s'ouvre à moi.
Dans ma bulle, je vie, je ris et je pleure.
Dans cette univers, je me cache de tout se manque,
De cette vulnérabilité quand mon être saigne.
Je m'attache à des sensations inutiles telle la jalousie, le manque.
J'aimerai pouvoir ne laisser place qu’à l'amour, le respect et la simplicité.
J'ai décidé de vivre, d'accepter mon corps, et c'est une tache très difficile.
à Mon âme.
2010