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Ils n’ont de toi rien retenu.
Cheval de Troyes, des inconnues.
Le chemin droit est si noueux.
Un ver sur l’arbre sinueux.
Vert sorti des terrains connus,
Tu n’es pas ce bienvenu.
Un vieil endormi sans doute.
Pas vu celui sur la route.
Le chien sourit au revenu.
En disco il faut la tenue.
Entrevoir ce ciel vouté
Et sourire à ces envoutés.
Naguère nous étions si près.
Des intérêts pour tous ces prêts.
J’ai vu ces dieux et ces leurres.
J’ai entraperçu la douleur.
Des lys au bord de la route,
Délices d’avant la déroute.
Même le diable a peur.
Il a peur de notre bonheur.
Consécration de tous ces rois,
Massacre de ceux qui trop croient.
Achille, je te veux têtu...
Un combattant c’est battu nu.
Quitter ces rois presque bouseux.
Nous vaincrons l’autre si tu veux.
Désire de paix inconnues,
Si nous disions bienvenu ?
Il se lève, pas de doutes,
Ce monde d’hommes qui doutent.
Quelqu’un a dit bienvenu,
Un paradis sans retenues.
J’ai vu celui qui sauvera.
Madeleine, Proust, drap posé.
La paix n’est presque pas prête.
Joie des visages, la fête.
Je vois Dieu et ses lueurs.
Soudainement plus de douleur.
J’ai presque vu cette route.
Redoutée vie, je te goutte.
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