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Les mots qui soufflent les tempêtes du grand nord
Non loin des grandes banquises blanches
La ou personne ne peut entendre les clameurs du temps
Qui s'agrippe aux bourrasques qui dérivent.
Non loin des rives sauvages aux fresques brunies de confusions
Des larmes se glissent au pourtour du monde
Captif des regards convertis en tissant les pouvoirs des sages
Sur les empreintes des mémoires antiques.
Se simule une fusion celée d’illusion
Au son graffité sous le regard confiant d’un mendient
Ou règne sa croyance d’un jour naissant
Surgit entre chaque flot une rébellion.
De percevoir une terre délaissée par les guerres
Qui se relie entre chaque continent éphémère
D’une humanité toute entière se glissera dans la distinction sombre
Ombrageant chaque pays pauvre à la ruine du temple.
Entrainant misère et indigence de l’enfant du monde
Au regard affaibli qui s’indignera devant les suprêmes.
Sans paroles inutiles s’éloignera avec fierté dans la poussière ouatée
Et emportera avec lui les mots équité, liberté.
likkoa
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