Liens commerciaux: @ |
Le monde tourne, tourne, tourne
Comme un oiseau repérant sa proie,
Qui doucement repère mon désarroi
Et fond porté par l’air, sans hésitation particulière.
Le monde tourne, tourne, tourne,
Comme un manège sans repère,
Qui doucement voit se que j’espère
Et désoriente les sens, pour tomber sur la malchance
Le monde tourne, tourne, tourne,
Comme un vent prisonnier,
Qui doucement discerne mes pensées
Et d’un coup sans scrupules, balaye toutes les certitudes
Le monde tourne, tourne, tourne
Comme le cycle de la vie,
Qui doucement m’écarte de mes envies
Et me laisse de coté, en faisant disparaître mon intérêt
Le monde tourne, tourne, tourne
Comme la valse joyeuse d’une danse,
Qui doucement remarque mes persévérances,
Et exploite les moindre failles : jamais tu ne serras de taille
Le monde tourne, tourne, tourne
Alors que moi je me noie, et larmoie
Le monde tourne, tourne, tourne,
Alors que moi je disparaît , tel un être effacé
Le monde tourne, tourne, tourne
Sans moi, sans comprendre ce que je dois,
Je dois faire, être, ou espère
Pour ne pas être ignoré, et m’accepter
|