Poème le chagrin

Sur ce bout de papier, il s’exprime un cœur,

Dans son stylet, il existe l’âme de ce cœur,

Chaque ancre écoulée s’écoule avec toute la passion de ce cœur ;

Ce cœur dont ta personne en a fait son prisonnier.

Je t’ai offert mon âme, toi tu l’as refusée,

J’ai voulu te donner le plus beau de moi mais toi tu l’as ignoré ;

Pourquoi ne peux-tu donc comprendre que sans toi,

Ma vie n’est semblable qu’à un tonneau de danaïde ;

Ne peux-tu donc comprendre ce désir profond qu’a ma personne de vouloir te posséder.

T’es la toute mignonne à mes yeux ;

Captivant mon attention et ter dérobant à l’assaut de mes regards.

Comme cette lune beignet couleur de miel,

Tu emportes mes pensées et je ne sais plus ou j’en suis

Car je me trouve à l’endroit ou ta beauté a bien voulue m’y emmener.

Bien même quand je décide de rendre leur liberté à mes yeux,

C’est toi que je retrouve à l’horizon de mon regard.

Ne peux-tu te rendre compte de tous ce que cela implique ?

As-tu seulement conscience du mal de ton ignorance ?

Ma chérie,

Le monde devient une prison ;

L’existence devient un enfer ;

Et la société à son tour devient un cauchemar ;

Parce que toi tu refuses de les rendre rose,

Rose comme ces fleurs que le temps a beau passées,

Elles ne fanent jamais ;

Rose comme cette beauté par laquelle mes rêves t’appartiennent.

Victor