Liens commerciaux: @ |
L’instant
Que souffle la tempête indocile
Sur nos pauvres esprits si serviles.
Offrande éphémère à l’âme volage
Qui voit enfin l’ardent pâturage,
Et butine avidement l’abondance…
De cette courte vie, prends et danse !
Car un jour, sans pitié,
L’ombre du chacal,
De tes rêves d’éternité,
Sonnera le glas fatal.
Et l’instant sera passé…
|