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L’autre croit du combat être gagnant.
Croire qu’accumuler les rend géants.
A force de gestes, que des méchants.
Les rois voient des hommes, des fenians.
Ils sourient à deux doigts de ce néant.
Ils n’aimeront jamais le mécréant.
Mère a poussé pour qu’ils vivent des ans.
Ils sont dans ce cocon là, tout dedans.
Un cancer ronge, le jour de l’an.
C’est là que tu vois qu’ils existent, pan.
L’hiver rivalise avec le printemps.
Nouvelle saison, étalon du temps.
Nobles et croquants, passent les saisons.
Elles usent et de nous auront raison.
L’arc en ciel pour tous ces croyants.
Pas l’essentiel, l’insouciant.
Le père qui pousse son fils en avant.
Son fils le considère plus qu’un parent.
La cupidité est comme un poison.
L’hiver fini et avril, le poisson.
En vérité, seule l’amour est là.
Heureux sont ceux qui ont vu son éclat.
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