Liens commerciaux: @ |
Des sillons et l’autre pas vu.
Tant d’Ornières sans abris bus.
Cet été une fois encore.
Les nuits alanguissent nos corps.
Un ciel d’envole, un hier.
Des plumes dans la volière.
Et ce faucon qui rêve d’elle,
Et cette faim des hirondelles.
La pluie ne touche pas l’aigle.
Un vol au dessus des aigres.
Une journée si lointaine
Roucoule sur la fontaine.
Un matin qui donne l’envie.
Le soir et toi et cette vie.
Des dinosaures ont suent voler.
Des beaux pouvoirs, se transformer.
Les oisillons ont mis les bouts.
L’air de rien, ils volent debout.
Osciller comme pour dire non.
Pas peur de sourire aux canons.
Manquent les plumes d’indiens.
Presque oiseaux et sans ce dédain.
Cette ombre noire est un condor.
Quand il passe, la nuit je dors.
Une caresse de ses ailes,
Je me crois beau comme en elle.
Elle m’a quitté cette oie trop vite.
Elle a vue que j’aimais les frites.
Un envol en vé et aller.
Elles sont ensemble, une allée.
L’homme d’augure raconte.
L’école mais que des contes.
On lui a appris à compter.
Ouïr ce média raconté.
|