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Le vent d’aout pleure l’été.
Le roi sort encore son épée.
Ils s’en réjouissent mais pas moi.
Une plage vide d’émois.
Les feuilles sont toutes rougies.
Comme une odeur de fruits pourris.
L’été se bat avec l’automne.
Septembre n’est pas monotone.
L’après lui annonce l’hiver.
Novembre bouffe notre vert.
La nuit soudaine crée l’effroi.
Tous ces manteaux contre ce froid.
Décembre sera bientôt là.
Père noël et le tralala.
Un sapin rêve du printemps.
Pas ci loin ce putain de temps.
Temps passé pour vivre l’été.
Le printemps passe, projeté.
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