Liens commerciaux: @ |
Je descend cet escalier,
Je m'enfonce sous vos pieds,
Dans un monde jamais foulé
Où la lumiere n'est plus gaieté.
Pour office de garde fou,
Il y a des têtes sans cous.
Je vois cette porte immense,
Qui efface toute esperance.
Elle annihile tout amour,
J'y deviens complètement sourd.
Un simple contact à cette surface
Et je me vide, je suis las.
La porte s'ouvrit lentement,
Le jour disparu calmement,
Avec les oiseaux et leurs chants
Le rêve d'un matin de printemps.
La nuit m'envahi si vite.
Mon coeur s'assombrit,
Et mon corps s'agite,
Dans mes sombres rêveries.
Le seul point fixe est cette femme,
Une lumiere sublime pour mon âme.
Elle rayonne dans l'obscurité,
Personne ne pourra la ruser.
Dans mes rêves, je l'embrasse,
Nos deux corps s'enlacent !
Puis tout s'éteignit,
A la mort, l'amour je fis.
Boudhha
|