Ô, Oran terre de mes ancêtres.
Terre de mon père.
Jamais je ne pourrai me passer de toi.
Lorsque je pense à toi, je voie mon père.
Je l’entends, je le sens, je te sens, Ô, Oran
Oran, le soleil t’éclaire de tous ses feux.
L’avion ma enlever en me laissant voir,
Ce désert à perte de vue, et mes yeux se sont voilés de larmes
Quand je suis rentré j’étais en peine
Mais cette peine, c’est transformé en haine.
Mais pas une haine agressive, la haine de ne pas pouvoir
Ô, Oran, venir te voir, lorsque je pense à toi.