Ces beaux jours, d’été, d’hiver, d’automne et de printemps
sont pour moi la cause de mon aveuglement
Par la chaleur étouffante, laissant la porte ouverte
profiteurs, viennent se délasser dans cette maison.
Ne chassant pas les pie et les corbeaux,
du a ma faible vision, vinrent ces voleurs ailées,
qui a proprement parler n’ont pas un appétit d’oiseau,
Dérober mes biens et ma joie, ne laissant trace de leurs méfaits
S’envolèrent ensuite, laissant ainsi l’auteur dans l’enivrement
Vautour, Faisant, tournant autour de la maison, la porte se ferma.
Dérober mes biens et ma joie, n’est pas seul raison de mon émoi
savoir que le nid des voleurs est dissimulé dans l’arbre de mon jardin,
me font passer pour le dindon de la farce, et en pesant mes mots
Meurtris courber, j’en parle blessé d’une plume dans le dos….