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Se soir je tue mon écriture
L’amertume, soir de pleine lune
Mon sang l’encre de ma plume
L’usure, de mon âme
Effet de la came
Mes doigts deviennent des armes
Mes mots des balles
Une rafale qui s’abat
Gillet part balle ou pas
Elle te transpercera
Composé avec des nerfs aciers
Sache que la poussière d’or rien à scier !
J’écris pour me vider
La tête remplis d’idée noire
Le visage sobre presque ridé, faut le voir
Un mort parmi les vivants
Sourie en faisant semblant
Sanglant, sanglot de larme de sang
Seule dans cette ruelle sombre
Cent fois
Le nombre de nuit a cherché mon ombre
Sans la fois
Je dérive la ou il fait sobre
Mon monde est au obscure
A l’usure, de mon écriture
Je meurs à petit feu,
Ma flamme s’éteint,
Depuis tout ce temps je suis malheureux
Homme au trouble destin
Souvent sur mon chemin il pleut,
Des goutes d’acides, me ronge
Cœur d’argile, âme fragile
Ce soir je plonge
Et tempi si je me noie
Je n’ai jamais respecté les lois
Attraction terrestre, loi de l’apesanteur
La fois, ne pas ouvert le cœur
Attiré comme un aimant
La force du vent, m’entraine au large
J’ai plus pied depuis un moment
Depuis un moment je ne vois plus le rivage
Dans le miroir je ne vois même plus mon visage
Brisé de mille verres
Je pleur quand je relis mes vers
Ils sont censés m’aider, à me retrouver
Mais je dois vous avouez
Que l’effet inverse se produit
Enfermer dans ma mélancolie
Je bois des litres de tristesse
Devient, alcoolique des mots qui font de la peine.
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