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Sous l’influence de l’automne des journées monotones, otage du maquillage cachant mon triste visage ne voulons montrer ce noir qui entoure mes yeux et assombrie mon regard, tours à tours mes traits s’égard affaiblies par la souffrance de mon cœur essouffler par ce souffle qui le balaie. Lui qui a accueillit tant de monde, aujourd’hui ce retrouve seule face a la maladie transpercé par la solitude, devenue habitude bien qu’inexactitude, car le monde n’a de sens qu’avec l’être aimer alors oui je suis entourée et chéri, mais je n’aime que celui qui meurtrit mon cœur.
Où es-tu ? Pour compter ses derniers battements, l’as-tu tant mérité ? L’as-tu au moins aimé ? Peu à peu il s’essouffle loin de toi il s’engouffre soudain ralentit grâce au vent, endormie par les médicaments. C’est tout mon corps qui en dépend de ce cœur qui se défend, car il ne veut pas vivre et je ne veux pas mourir bien que ce soit un droit mais moi loin de toi je ne peux mourir comme ça, fait moi un signe et tu soigneras mon cœur, une parole je t’en prie et j’arrêterais mes pleurs, sois l’homme d’avant l’ami, l’amour et l’amant redevient mon guérisseur rien qu’une fois souffle sur mon cœur.
Mes forces m’abandonne sous l’influence de l’automne, le maquillage ne cache plus rien et mes lendemains deviennent de plus en plus incertain. Abattu mais il s’emballe il sent la mort qui s’installe, assassiner par l’amour complice d’un souffle court. Et l’automne l’emporte ainsi que les feuilles mortes et peu importe ce cœur n’importe pas a celui qui porte son nom.
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