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Poème Le coeur monotone

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Ecrit par mymy le 10/09/10 et lu par 1240 personnes. 2 personnes ont envoyé un coup de coeur pour ce poème
Ce texte est un poème tristesse et fait partie des style de poésie suivant : prose .
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Sous l’influence de l’automne des journées monotones, otage du maquillage cachant mon triste visage ne voulons montrer ce noir qui entoure mes yeux et assombrie mon regard, tours à tours mes traits s’égard affaiblies par la souffrance de mon cœur essouffler par ce souffle qui le balaie. Lui qui a accueillit tant de monde, aujourd’hui ce retrouve seule face a la maladie transpercé par la solitude, devenue habitude bien qu’inexactitude, car le monde n’a de sens qu’avec l’être aimer alors oui je suis entourée et chéri, mais je n’aime que celui qui meurtrit mon cœur.

 

Où es-tu ? Pour compter ses derniers battements, l’as-tu tant mérité ? L’as-tu au moins aimé ? Peu à peu il s’essouffle loin de toi il s’engouffre soudain ralentit grâce au vent, endormie par les médicaments. C’est tout mon corps qui en dépend de ce cœur qui se défend, car il ne veut pas vivre et je ne veux pas mourir bien que ce soit un droit mais moi loin de toi je ne peux mourir comme ça, fait moi un signe et tu soigneras mon cœur, une parole je t’en prie et j’arrêterais mes pleurs, sois l’homme d’avant l’ami, l’amour et l’amant redevient mon guérisseur rien qu’une fois souffle sur mon cœur.

 

Mes forces m’abandonne sous l’influence de l’automne, le maquillage ne cache plus rien et mes lendemains deviennent de plus en plus incertain. Abattu mais il s’emballe il sent la mort qui s’installe, assassiner par l’amour complice d’un souffle court. Et l’automne l’emporte ainsi que les feuilles mortes et peu importe ce cœur n’importe pas a celui qui porte son nom.

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Ecrit par lyz le 01/10/10
C’est fou comme je me voie dans ce joli poème.
Envie de rien juste être seule qu'on me laisse en paix, quant ça me transperce que je suis au bord du vide malgré tout cet amour qui m'entoure, tout ce déchire tout est gouffre comme si que tout était que souffle. J’ai l’impression que personnes ne me comprend je suis peut être trop différente de toutes ces personnes, tu voies même la mort ne veux pas de moi, ou c’est peut être que je mis prend mal "quel dommage" Pourtant suis téméraire je n’ai pas peur de mourir ou de souffrir, juste peur de Dieu et devoir dépendre de quiconque, tu sais comme un légume sur un lit d’hôpital. Pour moi s’est comme l’abandon d’une religion (apostasie) une lutte interminable pire que l’enfer… Aussi sur le chemin de ma peine je suis peut être un peu trop mélancolique, mais toutes cette douleurs creuse et ruine aussi l’envie d’être bien avec l’amour.
Ecrit par jacouline le 16/09/10
Courage je t'offre mon plus beau sourire avec plein de douceur pour ton coeur meurtri.Amitié

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