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La nuit me frôla sans me toucher,
Elle la foudroya sans hésiter.
Ma colère je fis taire,
Mais je garde cet affreux goût amer.
J'ai vu arrivé ce fatidique destin,
Cette funeste et inéluctable fin.
Le rideau de fer s'affaissa,
Et la lumière s'effaça.
Des flots de tristesse arrivèrent,
Avec fracas ils nous déchirèrent.
Un bâton blanc finit par voir le jour,
Et avec, un sentiment affreux, un cœur si lourd.
Dieu, fais vœu de ne pas me rencontrer
Car mon jugement te sera funeste
Dans la fournaise d'un feu sans fin je te plongerai
Fuis moi comme la peste.
Flo(alias boudhha)
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