Les fleurs nourrient par ces flots furibonds fanent devant la flamme flétrie de la vie. La joie fléchie façe à la peur fracassante d'une mort fatidique et funeste. Le seul fil qui ne défaille pas est la force du coeur, mais elle reste faible et fragile devant la faue infaillible fauchant affectueusement les frèles personnes. La foi est pour l'epsrit fatigué, affaiblit par les faits de la vie. La faucheuse fera naitre la fraicheur dans son corps et sa vie fuyante s'effacera dans un souffle funèbre. Nous nous attachons à des faits futiles et afligeants. Je commence à fléchir sous ce poids et je m'enfonce dans les tréfonds d'un firmament sombre et fade. Fuis nous, mauvaise oeil, fais nous faux bon. Franchis ce fleuve et fonce, telle une étoile fillante, aux pieds de ton chef, ce dieux infame emplit de fureur. Ma vie s'est transformée, le paradis florissant a fané et un enfer flamboyant est né. Est ce la vie du phoenix, ou bien sa fin?