Tu as connue ton père qu’au début de ta vie
Il est parti trop vite sans dire au revoir
Tu étais si jeune si jolie
Seule à pleurer dans le noir
La douceur de ses mains dans tes cheveux
Ne sont qu’un souvenir lointain
Chaque soir tu prie Dieu
Et tu revoies la douce caresse de ses mains
Passes les jours passes les années
La mélancolie emplie ta vie
Le bonheur ne semble plus à ta porté
Et tu rêves de le rejoindre toi aussi
Mais n’oublie pas que ceux que tu laisses
S’ennuieront aussi de tes caresses
Que leurs vies sera à jamais détruites
Que leurs vies ne seront plus qu’une fuite
Trouve le courage de changer
Trouve le courage de pardonner
Trouve le courage d’aimer
Trouve le courage d’exister