Liens commerciaux: @ |
En vain je me tais,
Un gouffre immense, qui crie d’insuffisance,
Des sentiments étouffés, qui ne cherchent qu’à s’en aller.
Voilà mon lot quotidien, de ce que je retiens.
Des barrières immenses, qui prennent vie et m’élance.
A chaque fois qu’une flèche perce mes remparts,
Et souhaite entrer dans mon monde à part,
Les sentiments hurlent de douleurs,
Voilà se que contient tout mon cœur,
Une longue cicatrice qui garde fermée,
Tous ces sentiments insensés.
Imaginez pouvoir contrôler se que l’on ressent,
Pouvoir enfin choisir nos sentiments !
Pourquoi les hommes doivent tous être si tourmenté
J’aimerai enfin pouvoir m’en aller...
Redevenir un enfant, et partir en courant,
Rigoler sans manque d’insuffisance,
Rigoler d’une joie si immense,
Sauter dans les flaques, et porter un si léger sac…
Je ne peux, rouvrir la porte du bonheur,
Un sentiment bien connu la peur...
Le trou béant qui n’a jamais était rebouché,
Ne pourra plus jamais être oublié.
S’il vous plait… Je ne veux juste pas en recréer…
|