Purgatoire…
A la cime de la montagne…le néant.
Noirceur immaculée dispensant la douleur.
Et la mort maligne se souvient de la peur
Que le doute sournois renouvelle en blâmant.
Sabbats immémoriaux et frayeurs ancestrales,
Où les brouillards ténébreux brusquement révèlent
Tous ces ailleurs terrifiants qui rugissent et bêlent
En résonnant du combat des cornes vénales.
Rieur à la peine de l’innocent brûlé
Corrupteur infligeant son trident endiablé
Il abreuve d’avide et d’horreur le sublime…
Goules au sang noir et au rictus démesuré
Je vous exhorte à vous repentir de mon crime
Et enfin, peut-être, retrouver la vraie cime…