Nuit de suicide, les chiens aboient.
Les gens tranquilles courent dans les bois.
Je ne risque rien, je les regarde.
Mousquetaires, vous étiez en garde.
Vous êtes maintenant trop fatigués.
C’est que les choses ont dégoulinés.
Je me suis méfié de ce bourgeois.
Ils ont fait croire, ils bourrent de joie.
Faux croire au ciel, à cette étincelle.
Sombre bûcher qui tu notre pucelle.
Un triste ou beau jour, je m’en irai.
Peux sont ceux que mon amour a touché.
Dans la nuit passera le couperet.
Même pas vu, le monde est occupé.
La joie de l’un peut tuer un autre.
Quelques pleurs peuvent sauver l’apôtre.
Un rire en éclatant a su meurtrir.
Des sanglots ont redonné le sourire.
Du paradoxe l’homme est empereur.
Dérisions d’une loi qui me fait peur.