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Qui de toute époque a su asservir les Hommes,
Les rendant obsessionnels et tous accrocs
A cette forme de drogue non reconnue comme.
Le temps n’est qu’une forme d’arithmétique
Où de secondes en secondes, tout s’additionne
Et finit par soustraire les moments idylliques
Pour introduire de ces tortures qui résonnent
Le temps n’est qu’une petite blessure
Qui finit par s’infecter et se nécroser
Déclenchant des phénomènes d’usures
Une maladie orpheline qui ne cesse d’évoluer
Le temps n’est qu’un cauchemar
Pour nous, pauvres êtres humains
Pendus à un rêve de contrôle illusoire
Alors que le dur fatalisme n’est pas loin.
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