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J'ai oublié le poid de mes rimes,
La puissance des rythmes,
Et les vers ce sont égarés.
A cet époque, aujourd'hui perdu,
En douze syllabes je fondais un ciel,
Et puis, mon âme était nue.
Ma muse me soufflait les composés,
L'inspiration avait des teintes dorés,
Et ce jour heureux? Tout est mort-né.
Que mon art est débile de fatigue.
Et ma plume hésite...
Plus rien, je ne regrette.
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