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Et les Dieux sont pris sous une impitoyable cérémonie !
L’homme dans son ivresse devient fort mais il gaspille,
Pour des Dieux sans foi ni lois qui se rient de lui !
Mais à l’ombre de grands chênes qui dominent !
Le paysage d’une terrestre paysanne groupie de son épris
Le solitaire et pitoyable humain n’ait pris de son emprise
Mais quand il rêve sous ses chaînes, à l’ombre et le domine !
Il se nourrit dans les champs de morts,
Durcis par les flammes de l’enfer,
Et quand il se demande encore comment il se nourrit de lui
En mangeant probablement celle qui lui donna la vie,
Et de sa déesse Femme et elle qui l’indiffère,
Et qu’il aimera de tous ses remords !
Un univers qui grandit en millions par seconde,
Des galaxies qui se tendent à l’infini,
Une infinité qui est aussi riche et féconde,
Ce qui est sûr comme la terre est ronde,
Comme une fille qui joue à sa Barbie,
Prenons les pop-corn dans le micro-onde !
Dinons à quatre épingles la richesse de la nature,
Prenons la place à l’ivresse de Jésus,
Avec Juda le treize et les douze apôtres,
Buvez mon âme à jamais corrompue
Et partagez ma méchanceté avec les vôtres !
Amen !
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