Un jour des femmes me posèrent dans tes bras,
Un large sourire s'était dessiné sur ton visage.
Tu disais que j'était ta petite princesse.
Toi et maman travailliez dur pour que j'ai une enfance facile facile,
Je l'ai eu facile, je le sais.
Mais trop travailler veut dire
Débrouille toi dans ce monde?
Vous ne voulez pas avouer
Que ce n'est pas vous qui m'est élevé,
Mais bien cette femme extraordinaire
Qui est ma grand mère.
Assise sur un comptoir, je parlais
Dès ma plus jeune enfance.
Ce souvenir là je ne l'oublirais jamais!
Mais aujourd'hui j'ai grandi...
Ta petite princesse n'est plus la tienne.
Tu m'as inventé une vie qui n'est pas la mienne
Ton amour s'est transformé petit à petit en haine.
Ton sourire, il a disparu comme si le boheur était devenu malheur.
J'encaise ce que tu dis
Et je garde mes larmes
Pour écrire ce poème.