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Le vent amène un bel été.
Un rayon comme un coup d’épée.
L’homme s’en réjouis, pas moi.
Le solstice sort de ces mois.
Sans bruit, les feuilles rougissent.
Toutes les odeurs qui brouissent.
L’été gît et laisse sa place.
Novembre est sur sa trace.
La nuit mais pas encore l’hiver.
Décembre s’octroie l’univers.
Père Noël et la mer trop loin.
De la neige et plus de foin.
Le printemps se fait attendre.
Faut aimer juin pour comprendre.
Le temps qui roucoule et l’été.
Nature, tu es une hanté té.
Les rires, le feu de la Saint Jean.
Moi je ne comprends pas ces gens.
J’ai aimé voir Juin grandissant.
Les heures comme un ravissement.
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