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Le Vent
Près de l’océan que j’aime tant admirer,
Là, où règne tranquillité et magnificence,
J’entends soudain un haro de l’alizée
Venant rompre cet auguste silence
Oh, doux Marin suintant et automnal,
Daigne déposer ton souffle matinal
Sur ces sublimes récifs couleur panaché
Qui de loin expriment leur agréable clarté.
Toi, qui par tes perçantes vociférations,
Te déchires, te fracasse et te démembre
En un souffle vivace d’un mois de septembre.
Tu es l’insaisissable qui porte à confusion,
Sauvage, mélancolieux, et même vrombissant,
Tu es celui que le monde surnomme le vent
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