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En espérant l'été
Je vois dans les nuages devant au très loin
Tel un sourire, serait-ce tout comme le tiens
Et bien oui, c'est lui que l'on voit poindre enfin
Lorsque le soleil tente d'apparaître et qu'il y parvient.
Tu meurs à l'arrivée des grondements fous
Les oiseaux attendent ta présence sur leurs pattes debout
Venant du sud exprès pour te voir au moins un petit bout.
Ils veulent sentir ton vent si doux à chaque heure
Pour aider à trouver leur douce âme soeur
De leur nid, ils préparent leur petit bonheur
Pour que ceux-ci grandissent dans la paix sans rancoeur.
Et année après année comme leurs parents le font
Ils quittent la maison en hâte à chacune des saisons
Pour revenir l'année d'après du sud hors de l'horizon
Jouir de ta présence ou venir y mourir... c'est selon !
FIN
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