Elle était seule
Prisonnière de son coeur
Elle qui avait oublié le bonheur
Sentinelle d'un monde torturé
Elle ne pouvait effacer
Le souvenir de cette âme résignée
La folie la guette
La mort...aussi
Mais on ne peut contourner les Ecrits
Elle était condamnée
Et elle ne pouvait rien n'y changer
Car le cour du destin est tracé
Et quand elle suspendit le vol du temps
On put distinguer en ses yeux qui brûlaient
L'éclat des diamants de larmes qui ne couleront jamais...
BlackFloyd / 24/05/10 / 12H16