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loups des plaines arides
une vaste étendue
à perte de vue
au solstis d'été
que ton ombre se crée
plongé dans l'abîme
où le chaos prime
une pluie avide
aux couleurs humides
valse des larmes
où scintilles l'arme
de ta tristesse éffacée
en ce brin d'été
danse des camélia
spectacle de Gaia
ravit ton âme
d'une douce flamme
submergé par une mer
d'une sensation amer
près d'un oasis
sur un terrain d'Ibis
un orange s'amoncelle
et un mirange dans le ciel
se dresse tel un mur
tu coontemple l'azur
au teint flambloyant
te laisses méditant
sur les péripéties de ton récit
sur un air de mélancolie
et sous l'étoile solaire
ton seul confrère
dans cette imence désert
fut ces quelque vers
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