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La lettre (d’adieu a la vie d’un esclave en dérive)
Pourquoi la vie nous fait ‘elle souffrir ainsi
Elle n’est pour moi faite que de tristesse et d’ennuie
La torture et la souffrance sont devenues mes amies
Et ma force et mon courage peut a peut ont dépérie
De ses jours longs comme des semaines
Et de ses nuits où je m’enfonce dans l’oublie
Toutes ses années ou chaque jours un peu de ma vie s’enfui
J’aimerais un instant oublié qui je suis
Pour pouvoir renaitre de cette vie de douleurs que je fuis
Fuir dans l’absolue inconscience de mon esprit torturé
Jour âpres jour je me rapproche un peu plus de cette délivrance
Celle que mon cœur espère tant a chaque jour à chaque instant
Mon long parcours va enfin prendre fin
Mon cœur bat à demi et mon Corp. n’en peut plus de cette vie
Cette vie de torture aura eu raison de moi
Et je décide aujourd’hui que mon chemin s’arrêtera la
Ici et maintenant dans cette prison de l’âme
Mes chaines ne m’empêcheront plus de m’évader
Et enfin je vait pouvoir entrevoir une ultime et douce liberté
Il est tant d’en finir avec cette vie
La lame du rasoir est tranchante et dans celle si j’entrevois mon reflet
Dernier vestige de mon passage dans cet enfer qu’est ma vie
D’un geste rapide je reprends possession de ma vie
Il ne me reste alors qu’un court instant, ultime moment d’un répit éphémère, d’un étrange arrière gout amère
Etrange est le gout de la délivrance
Dans ma bouche le gout subtile de la mort
Dans la nuit sombre peut a peut je m’insert
Mon esprit est libère et mon sang coule à flot
Adosser contre ce mur de pierre, dans cette prison de l’esprit
Tous mon corps devient plus léger comme délivre
Ainsi libéré de toutes ses chaines qui l’entravaient
Je déguste à présent l’extase de mon dernier souffle
Je lâche prise peu à peu
Je me laisse dériver errant inconsciemment dans les méandres de la nuit
Quelle douce sensation que celle de l’abandon
J’abandonne volontiers cette vie, pour dériver ainsi dans
L’infini de l’oublie
Quelque subtile fragment de mémoire s’attarde encore à flâner tel de court instant décaler
Ca y est je ne ressens plus rien le mal est déjà loin
Je flotte ici et la entre l’espace et le temps
Je suis comme suspendue entre le ciel et la terre
Pourtant je me sent bien et j’avance d’un pas l’Eger
Vers la libération totale de mon âme torturer
Dans ce long voyage ou rien ne vie je reste la a contemplé
Une dernière fois ce monde que j’ai fuis
Dans cet eternel repos mes blessure je panserais
Mais sachez que je quitte la vie sans regret
Ne me pleurez pas, car c’est ainsi
En ce jour maudit je reprends mes droits sur ma vie
Et je disparais ainsi dans l’infini, dans l’oublie
Ainsi resteront les dernières paroles de l’esclave à la dérive
Que je fus, ma liberté enfin j’ai retrouvé dans cette mort je me suis délivrer
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