Poème L'Echapatoire

Quel sentiment d'horreur j'eu quand,
J'appris que j'était sur la route des âmes perdus.
Au pied des portes ou finis a jamais le temps
L'entrée du royaume aux milles pendus.

Comment réagir? Courir et partir? S'enfuir?
Ou se laisser guider, et à jamais subir
Les chatiments éternels, qui, au delà des ses portes
Sauront nous faire rugir de toute sorte?

J'avançais toujours et la peur en moi grandissait
Tous les yeux des fantômes autour de moi,
Fixe et remplis de haine me maudissait
Et je sentis, en moi, monter l'éffrois.

Soudain une voix lointaine m'appela
Etait ce vraiment pour moi?
Je fus happer à la mort et revint ici bas
Au millieu de ma famille et de ses bras.
Remercient plus que jamais le destin
D'avoir échapper au Malin.