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Je suis triste, le courant de la vie me ramène à la réalité.
Les pieds sur terre, la tête a l’envers, une fatalité
Je navigue dans mes pensés, la simplicité
Le brouillard épais m’empêche d’y voir clair, la difficulté
Mes idées sombrent, me plonge dans le noir, la sobriété
Noyer dans la tristesse de mes mots, une menace
J’écris la mélancolie de ma vie, la mal chance
Verse des larmes de peine, une souffrance
Chaque fois que je ferme les yeux, la claire voyance
J’imagine le pire, la démence
Prisonnier de ces soucis, la tristesse
L’homme perd ca lucidité, la maladresse
Enfermer dans son monde, le stress
L’instant est solennel, la messe
Tout est écrit, le chemin de la vie, une forteresse
Les rire et les preuves, la délicatesse
Une femme douce, la tendresse
Les bras de ma mère, l’affection
La peur de la perdre, une obsession
La maladie l’envahis, la malédiction
Le cancer est un poison, une affirmation
Et je cris au monde, mes interrogations
Que sa peur ne prenne pas l’emprise, l’émotion
La vie ce complique, ou elle te mène
Emporter par mes pensés, la peine
J’envisage le pire, la haine
Et la mes mots s’en mêle, une rengaine
Mon esprit chavire, un homme a la mer
Je bois la tasse, putain de gout amer
Les pieds sur terre la tête a l’envers
Parfois la vie est un enfer
Et les flammes me brulent
Parfois la vie est un incendie
Et la fumer m étouffe
J’écris des mots pour respirer
Pour éviter de m’affectiez
Les difficultés s’embrasent
Est détruit la vie
Celle d’une femme douce
Au cœur si fragile
Je trouve ca vraiment triste
D’accepter le sors de ca vie
Vivre pour peut être mourir demain…
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