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Ma pauvre grosse vieille,
T'éteindras-tu un soir d'été ?
Le reverras-tu, le soleil ?
Décadence n'insipire pas la pitié.
Ma pauvre grosse vieille,
A quand ton dernier sommeil ?
Les temps sont durs, tu le sais ?
Plus assez de bougies sur ton sablé.
Vieille bourrique acharnée,
Sais-tu que tu vaux de l'or ?
Grosse femme isolée,
Puis-je enfin cueillir ton trésor ?
Ton heure a sonné, pauvre mère,
Je ne puis renoncer à te plumer.
Jeune fortuné t'offre la liberté.
Quelle est ton ultime prière ?
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