L’œil jette l’éclair venu de là.
Ils sont venus faire ce travail là.
Ferraille, tu deviens criante.
Devant eux tu seras suppliante.
Les cheminées accablées vomissent.
Les combattants arrivent, prémisses.
Armés de casques, ils sont toujours prêts.
Ils ont ce pas qu’on ne peut arrêter.
Ils entrent dans les coins de puanteur.
Ils entrent dans le film, les acteurs.
Les coups retentissent comme en enfer.
Avec l’acier ils croisent le fer.
Ils sculptent cette nature, cette mère.
La matière plie, s’incline en colère.
Par tout les temps tu grimpes ô monteur.
Et tu es de la vie le grand vainqueur.