Quelquefois le gladiateur meurt.
La pluie fuit les orages qui tonnent.
On le pleure un instant, une heure.
Il a changé le monotone.
Il a triomphé des rancœurs.
Son cœur été début d’automne.
Un instant voit couler mes pleurs.
Mon cœur voit la fin de l’automne.
Sa tombe regorge de ces fleurs.
Rendez moi donc le sonotone.
Dans mes yeux survit la lueur.
Tu est le meilleur Ayrton.