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Il y a tes gros regards,
Pierres polies posées là,
J’attends.
Le temps qui s’entortille,
Parfois sans le savoir,
Retourne dans le passé.
Alors, un air de fête,
Explose comme un bouchon,
Qui fugue.
Libre,
Bondissant.
Mais toujours, il retombe,
C’est là, que ma main morte,
Epuisée,
Abandonne
Et relâche,
Le couvercle,
De ma tombe.
Pendant des millénaires,
J’attendrai un bouchon,
Qui, las d’être en prison,
Ira sans le savoir,
Me libérer des ombres.
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