Année deux mille douze, le chaos.
On espère, plus personne tout là-haut.
Villes baignant dans l’avilissement.
Décadence de l’homme décidément.
Les larmes coulent, l’argent triomphe.
On le sait, l’abcès lentement gonfle.
Amour n’est plus, les dicos en deuil.
Sentiments plus couchés sur la feuille.
La l’arme asséchée au coin de l’œil.
On s’attaque presque comme un deuil.
Croire à l’intérêt comme des éperdus.
Energie gâchée et tout est foutu.
Le ciel assombri crache sa douleur.
Quels sont ces engins, drôle de couleur !
Je n’y crois pas, je les vois ces vaisseaux.
A présent manque le S du SO.
Certains crient, les autres font les poches.
Profit aveugle et toujours moche.
N’ayons peur, le soldat va riposter.
On va enfin pouvoir se révolter.
Soucoupes d’un âge diffusent le gaz.
Le temps de voir, toute cette extase.