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Quand ADO sort de son sommeil, il est vide,
Dodo l’a pompé comme un pneu on vide.
ADO bande mou et Dodo s’essouffle,
« Ce salaud se fout de mes seins en mouffles »
Alors pleine de rage, elle lui mord les couilles,
ADO dort et dort toujours, car ce sont des nouilles.
Dodo pleure et couine, comme une grosse fouine,
« Qui me percera ? C’est un vieux rat en ruine ! »
Elle met un grand boubou et plein de fond de teint
Court vers rue Princesse, y faire le tapin.
Mustapha rôde là, bélier des jeunesses,
Et lui dit « Bébé je te bourre les fesses »
Dodo est charmée par le gros et gras bourreur,
Et lui donne son cul flasque, gras et tout moiteur
Mustapha l’enfile et lui dit cajoleur :
« Amie, dis-moi comme tu chie, c’est tout ton bonheur ».
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