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Sournoisement à la vue cachées
Ne laissant à ma vue que leur respiration
De désir d’être frôlées
Ces mandarines exposent leur réclamation
D’être libérées de leur carcan
Pour vivre l’excitation de leur myrtille turgescente.
Ne résistant plus, mes mains avec empressement
Laissent exploser leur volonté impatiente.
Bonnets arrachés
Les voilà libérées
Ces doux fruits pointés en avant
Se soumettent à leur amant
Plus bas, l’appel humide immoral
Des effluves du plaisir
Appelle à dépasser le cérébral
Et libérer le fleuve de désir
Bouches soudées
Langues collées
Ventres de spasmes torturés
Dans son fourreau l’épée est rentrée.
De par nos yeux révulsés
Nos voix cassées
Le signal est donné
Enfin voilà le temps de nous aimer !
Douces gifles,
Griffes,
Cris !
Crache de ton vit !!
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