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Coucou !
Soudain, comprenant son erreur
Il se retournât et d'un regard provocateur
Revint avec frénésie, me prit avec ardeur,
M'entraînât à l'abri sous le pont,
Me jetât à terre sans attention.
Nos regards se croisèrent, palpable était la frénésie
Et en dehors de toute poésie
De mon corsage déchiré
De son marcel délabré
Jaillies nos poitrines
Assassines.
Sa main puissante m'arrachât le reste
Je lui prenait le vit tel une peste
La suite, à vous d'imaginer
C'était une folle nuit d'été
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