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Chere cousine
Le temps est un bourreau
il apporte ses beautés et s'en va
je ne peux oublier mes maux
Tu es partie me laissant seule dans mon grand lit
Froide malgré la chaleur qui me brule chaque jour
je ne peux oublier nos plaisirs partagés
sous la couette
tu savais ranimér mes désirs
tu me donnais le grand plaisir
Tes longs baisers qui me disaint long pour ta passion pour moi
je t'offrais mon coeur et mon corps
tu le le caressaiis d'une main experte
je me sentais en extase
je voulais que le temps s'arretait un moment
Tes etreintes me faisaient dire que j'existe
notre plaisr atteignait son sommet
on etait heureuses dans notre nudité
on etait heureuses dans notre solitude secrete
je t'appartenais
soudain t'es partie avec ton homme
je suis restée dans mes pleurs
je suis restée dans mes nuits noires
Mes levres sensuelles attendaient les tiennes
tu es partie
Mayssa
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