rise douce amène l’été.
Brouillard fendu par l’épée.
L’humanité s’en ri, pas moi.
Le solstice ne touche pas l’émoi.
Une feuille nait ou rougit.
Odeurs qui s’évadent sans bruit.
Eté mort pour cet automne.
Novembre est monotone.
Il fait nuit, l’hiver n’est pas là.
Puis une neige en matelas.
Sapin, presque comme un printemps.
Ta cime gravit tout ce temps.
Passe le froid, vient cet été.
Je l’aperçois comme si c’était.
Empruntant les joies, je souris.
Du vert né du fruit pourri.
Cosmos qui contient ma terre.
Laissez la moi coléoptère.
Une sourde joie nous nourri.
Un rayon darde et je ris.