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D’aussi loin que je me souvienne …
Neige immaculée collant a nos bottes , vent glacer transperçant nos mitaines , nous fait courir dans l’allée pour rentrer nous réchauffer .
Collés les uns aux autre gloussant de nos rires d’enfants , cacao nous brulant les lèvres mais nous réchauffant
Contes de fées joliment raconté devant l’âtre de la cheminée , ouïes grand ouvertes et yeux écarquillés
Au dehors les loupiottes allumées , faisant briller les yeux des jeunes enfants sous les regards attendris de leurs parents.
Affrontant le froid mais avec joie ,les passants souriants flânant et sifflotant
Dans les rues se déversent les effluves sirupeuse de pain d’épices moelleux et de marrons glacés .
Merveilles dans les yeux devant ces vitrines parés de mille feux .
Ces repas préparés avec amour et savoir vivre , et dressés sur cette grande tablé aux couleurs vives , ou s’attablerons les convives dégustant ces plats merveilleux .
Discussions joyeuses , jamais houleuse , regards pétillant rires d’enfants .
Et dans l’église encore silencieuse , les âmes agenouillées priant , n’attendant que de remercier de leurs voix en entonnant des chants .
Et le coucher le cœur léger , non pas sommeil les petits enfants et dans des rires étouffés ferme les yeux en attendant …..
Mais ou est tu passer ?
Je ne vois plus ton manteau blanc !
Devant la cheminée plus de contes de fées , maintenant remplacé par des écrans .
Les passants baissent la tête , maugréant contre le temps.
Lumières et vitrines sont à la fête mais ne font plus briller les yeux des enfants .
Repas vite préparé , plus de saveurs d’antan
La tablé sais rapetissée , décoré de noir et blanc .
Petits comités déprimé ou solitude étouffante.
Bancs de l’église déserte ou l’on entend plus que le vent ; seule quelques âmes agenouillées ne remerciant plus mais quémandant .
Mais ou est tu donc cacher fêtes de la nativité ?
Viens donc encore nous faire rêver , réveille nos âmes d’enfants , réapprend nous a partager , redonne nous le gout d’aimer .
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