Choses de la vie m’assaillent.
Penser au peuple Massaï.
Fâché comme l’adolescent.
Témoin des actes indécents.
Ils entrent dans la bataille.
Comme pour combler cette faille.
Le peuple connait le printemps.
Il sait que nous vivons le temps.
Abysse né des canailles.
Ils font des autres ripailles.
Ce bataillon de mécréants.
C’est certains il crée le néant.
Dansez gros bourgeois qui baillent.
La larme crée la grenaille.
Croqueurs de petits innocents,
Vous vous moquez des mécontents.
Chercheront dans vos entrailles
Pièces, cette ferraille.
Ils fouilleront au plus profond.
Le sou dans vos poches sans fond.
La Libye a vu ka da fi.
Bientôt une démocratie.
Vive le nouveau né, l’enfant.
Un printemps qui me voit content.
Un lendemain pour cette vie.
Il va partir sans alibi.
Je sais que j’aime les chansons.
Joie de vivre dans la maison.
Un fou du peuple c’est foutu.
Une foule va et le tu.