Quand les choses de la vie m’assaillent,
Je rêve à mes plus beaux printemps.
J’aime penser au peuple Massaï,
Faisant la ronde telle des enfants.
Il entrera dans la bataille,
Fâché comme un adolescent.
Pour combler cette odieuse faille,
Témoin de l’acte des méchants.
Fracture crée par ces canailles,
Ce bataillon de mécréants.
Ils ont fait des autres, ripaillent,
En se moquant des mécontents.
Prenez garde, bandes de racailles,
Croqueurs de petits innocents.
Le peuple prépare la grenaille,
Sa tête entonnant des chansons.
Ils la prendront dans vos entrailles,
Cherchant en vous le plus profond.
Ces pièces, ces sous, cette ferraille,
Bruissant dans vos poches sans fond.
Méfiez vous, bonhommes qui baillent,
Les gens ne sont pas aussi cons.