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Un pas dans la république.
Une pluie d’homme, tropiques.
Maman prépare le petit nid.
Entre deux verres le père dénie.
Des feux lointains, des foyers.
L’enfant dans ce lit choyé.
L’écœurant prix de ce loyer.
Va-t-on vivre et le noyer ?
Les tambourins sont remballés.
Fin d’un carnaval chamboulé.
Il donne aux autres des ordres.
Guerre plutôt que ce désordre.
Tous ces géants ne sont que nains.
Les peux auront leurs lendemains.
Trois cent millions pour l’étron.
Leurs têtes n’auront plus de troncs.
Des hordes vont, apparaitront.
Trop de suppliques, que des cons.
Petits fours avec champagne.
Des doigts pour les courtisanes.
Tu pisses dans ce truc, cet or.
Je te déteste dès l’aurore.
Tu aimes et profites, rôle.
Un homme comme bête, drôle.
La guillotine, des lueurs.
Un sang impur bande, looser.
Tu crois dans la vie aux biens.
De nous ta fortune vient.
De nous, tes biens partiront.
Pour cet enfant nous parions.
Le fric tu l’a et tu l’avais.
Comme à marie, fait cet ave.
L’apocalypse devant nous.
Arrachez de vous ces bijoux.
Une année ajoutée au trop.
L’âne est désespéré du trot.
Un cracheur lance son mégot.
Crépitements vus dans l’ rétro.
Il était une fois la vie.
Il était une fois l’envie.
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