Sonate en toi Majeur
Une note de musique sur le papier magique du destin
Une clef qui ouvre la porte de l’espoir
Un Do discret, un silence, et la mélodie s’envole enfin
Un sourire timide sort de son tiroir…
Des doigts de fée sur les cordes endiablées
D’une guitare affolée qui crie sa joie
D’être à l’unisson avec l’artiste réveillé
Deux mains, un cœur, le chant des rois
Il écoute et se souvient de cette gamme
Il ressent les vibrations du temps
Il aperçoit même et reconnaît son âme
Il se noie et redevient l’enfant
Elle est là qui sourit, fragile, intense mais sereine
Elle est une fleur, un perce-neige
Elle est la première après l’hiver de mes peines
Elle est la symphonie du divin arpège…